07. October 2012 · Comments Off

De tout le collège, c’est Bennett qui a le plus d’idées mais, chose étrange, elles plaisent rarement à ses professeurs. Avec son ami Mortimer, il a construit une cabane près de l’étang. Tout irait bien s’il ne tombait pas dedans avec son costume tout neuf, si sa balle de cricket n’atterrissait pas dans le jardin du directeur et si le général Melville ne débarquait pas sans prévenir.

07. October 2012 · Comments Off

A onze ans, la petite Verte ne montre toujours aucun talent pour la sorcellerie. Pire que cela, elle dit qu’elle veut être quelqu’un de normal et se marier.
Elle semble aussi s’intéresser aux garçons de sa classe et ne cache pas son dégoût lorsqu’elle voit mijoter un brouet destiné à empoisonner le chien des voisins.
Sa mère, Ursule, est consternée. C’est si important pour une sorcière de transmettre le métier à sa fille. En dernier ressort, elle décide de confier Verte une journée par semaine à sa grand-mère, Anastabotte, puisqu’elles ont l’air de si bien s’entendre.
Dès la première séance, les résultats sont excellents. On peut même dire qu’ils dépassent les espérances d’Ursule. Un peu trop, peut-être.

07. October 2012 · Comments Off

L’été. Vacances en Bretagne. Une fillette écrit tous les jours de tout un mois à son petit ami, ou presque. Avec mention de serments, de langage secret, de bague et des souvenirs qui font cette sorte de connivence. Mais lui n’écrit pas. Alors la relation se délite, entre déception et vengeance. Parallèlement, la chatte des voisins, les sorties avec les voisins, surtout le jeune garçon, tiennent de plus en plus de place. La fillette décide alors de ne plus écrire. Ce roman par lettres a été publié seul en 1987. Il est maintenant suivi par le journal de la fillette, tenu pendant le second mois de vacances. Découverte des pouvoirs de l’écriture, avec d’autres intermittences du cœur, d’autres enthousiasmes, mêmes dépits et mêmes espoirs. Ce livre frappe bien sûr par le portrait indirect qu’il offre de l’épistolière puis diariste, très attachante. Le ton, qui imite les tournures et les ruptures d’un style enfantin, est toujours juste pour évoquer les relations entre les personnages et les incertitudes d’un âge où l’on commence de quitter l’enfance. L’autorité parentale, l’amitié, la naissance, l’amour, la mort, toutes ces grandes questions sont revisitées sans pompe ni légèreté : le choix du mode de narration permet beaucoup de silences délicats ou de suggestions pudiques que le lecteur peut investir à sa manière. Cette gracieuse évocation d’un chagrin d’amour est assurément parlante.

07. October 2012 · Comments Off

“Les hommes avaient tout. Ils savaient tout. Plus rien ne les amusait ni ne les étonnait. Alors quelques-uns d’entre eux eurent une idée géniale : inventer l’aventure ici, tout près de leur maison. L’aventure avec des palmiers, des bananiers, des lianes… Mais il manquait quelque chose pour que ce soit vraiment drôle : LE DANGER. C’est pour ça qu’on m’a engagé au Tropical Center…” Un tigre raconte à son petit comment il a obtenu une “place en or” au Tropical Center, le parc d’attractions à la mode où l’on pousse le goût de l’aventure jusqu’à risquer de se faire dévorer… Dans cet album à l’humour grinçant, Bruno Heitz se moque avec légèreté d’une humanité blasée et revenue de tout qui joue à se faire peur…

07. October 2012 · Comments Off

Aujourd’hui Delphine et Marinette s’ennuient. Voici le loup qui toque au carreau et qui supplie qu’on lui ouvre. Les fillettes se laisseraient bien tenter mais l’animal a fort mauvaise réputation. Cependant le loup finira-t-il par ses belles paroles à faire oublier qu’il a dévoré le Petit Chaperon Rouge et l’agneau de la fable ?

07. October 2012 · Comments Off

Olivia a une bonne raison de se passionner pour l’Egypte ancienne. Elle vit dans le musée dirigé par son père, en compagnie d’une momie et de sculptures de dieux étranges. Drôles de fréquentations ! D’autant plus que, depuis quelques jours, le musée est le théâtre d’évènements inquiétants. Avec son séduisant cousin Arthur, Olivia mène une enquête qui l’entraînera très loin dans le passé. Beaucoup trop loin…

06. October 2012 · Comments Off

Le plus beau livre sur l’amitié enfantine : un matin de chasse dans les collines. Marcel rencontre le petit paysan, Lili des Bellons. Ses vacances et sa vie entière en seront illuminées. Un an après La Gloire de mon père, Marcel Pagnol pensait conclure ses Souvenirs d’enfance avec ce Château de ma mère (1958), deuxième volet de ce qu’il considérait comme un diptyque, s’achevant sur la scène célèbre du féroce gardien effrayant la timide Augustine. Le petit Marcel, après la tendresse familiale, a découvert l’amitié avec le merveilleux Lili, sans doute le plus attachant de ses personnages. Le livre se clôt sur un épilogue mélancolique, poignante élégie au temps qui a passé. Pagnol y fait vibrer les cordes d’une gravité à laquelle il a rarement habitué ses lecteurs.

06. October 2012 · Comments Off

Un petit Marseillais d’il y a un siècle : l’école primaire ; le cocon familial ; les premières vacances dans les collines, à La Treille ; la première chasse avec son père… Lorsqu’il commence à rédiger ses Souvenirs d’enfance, au milieu des années cinquante, Marcel Pagnol est en train de s’éloigner du cinéma, et le théâtre ne lui sourit plus. La Gloire de mon père. dès sa parution, en 1957, est salué comme marquant l’avènement d’un grand prosateur. Joseph, le père instituteur, Augustine la timide maman, l’oncle Jules, la tante Rose, le petit frère Paul, deviennent immédiatement aussi populaires que Marius. César ou Panisse. Et la scène de la chasse à la bartavelle se transforme immédiatement en dictée d’école primaire… Les souvenirs de Pagnol sont un peu ceux de tous les enfants du monde.

Tim

06. October 2012 · Comments Off

Tim et Vieille. Ils sont les seuls êtres humains sur une Terre brûlée par le soleil, anéantie depuis longtemps par les guerres. Le garçon n’a pas d’avenir et Vieille vit dans la terreur de revoir les Ratus, ces êtres mystérieux qui ont détruit la cité des derniers hommes. Que trouveront-ils au __. du désert, là où est tombée une étoile ?
L’espoir, peut-être…

06. October 2012 · Comments Off

Un soir, Sophie aperçoit de la fenêtre de l’orphelinat une silhouette immense et une main énorme qui s’approche… Un géant ! Rêve-t-elle ? Roald Dahl adorait le BGG. Retrouvez-le dans sept courtes pièces qui mettent en scène tous les personnages du roman. Un régal d’humour, d’ingéniosité et de fantaisie.