06. October 2012 · Comments Off

Dans le golfe du Mexique, pendant trois jours, un vieil homme lutte, seul sur sa barque, pour capturer un espadon. Lorsqu’il le tient enfin, au prix d’un combat acharné, les requins se précipitent, ne laissant de sa prise que la tête et l’arête… Hemingway voulait que cette histoire soit la plus réaliste possible afin qu’elle dise plus que la réalité… Brillante métaphore de la condition humaine, de sa vanité, de son désespoir, ce livre lui valut le prix Nobel de littérature en 1954.

06. October 2012 · Comments Off

Le plus beau livre sur l’amitié enfantine : un matin de chasse dans les collines. Marcel rencontre le petit paysan, Lili des Bellons. Ses vacances et sa vie entière en seront illuminées. Un an après La Gloire de mon père, Marcel Pagnol pensait conclure ses Souvenirs d’enfance avec ce Château de ma mère (1958), deuxième volet de ce qu’il considérait comme un diptyque, s’achevant sur la scène célèbre du féroce gardien effrayant la timide Augustine. Le petit Marcel, après la tendresse familiale, a découvert l’amitié avec le merveilleux Lili, sans doute le plus attachant de ses personnages. Le livre se clôt sur un épilogue mélancolique, poignante élégie au temps qui a passé. Pagnol y fait vibrer les cordes d’une gravité à laquelle il a rarement habitué ses lecteurs.

06. October 2012 · Comments Off

Un petit Marseillais d’il y a un siècle : l’école primaire ; le cocon familial ; les premières vacances dans les collines, à La Treille ; la première chasse avec son père… Lorsqu’il commence à rédiger ses Souvenirs d’enfance, au milieu des années cinquante, Marcel Pagnol est en train de s’éloigner du cinéma, et le théâtre ne lui sourit plus. La Gloire de mon père. dès sa parution, en 1957, est salué comme marquant l’avènement d’un grand prosateur. Joseph, le père instituteur, Augustine la timide maman, l’oncle Jules, la tante Rose, le petit frère Paul, deviennent immédiatement aussi populaires que Marius. César ou Panisse. Et la scène de la chasse à la bartavelle se transforme immédiatement en dictée d’école primaire… Les souvenirs de Pagnol sont un peu ceux de tous les enfants du monde.

29. September 2012 · Comments Off

Chaque jour, au zoo, le vieux loup voit un petit garçon le fixer de ses deux yeux grands ouverts. Et ça, le loup ne le supporte pas : il est borgne et ne sait pas quel oeil regarder. Mais l’enfant le comprend et ferme un oeil. Le voyage peut commencer : dans l’oeil du loup, l’enfant va découvrir le Grand Nord et, dans l’oeil de l’enfant, le loup verra défiler la vie dans le désert africain. Un roman bref qui éveille une foule d’émotions : tendresse, nostalgie, rêves d’ailleurs…

29. September 2012 · Comments Off

Courageux, Le Chien ! Pas joli, joli, mais un sacré cabot ! Comme il se bagarre pour vivre ! Ce qu’il cherche ? Une maîtresse. Une vraie, qui l’aime pour de bon. Pomme lui plaît beaucoup, au Chien. Un grand rire, des cheveux comme un soleil… Hélas, elle est tellement capricieuse ! Une vraie caboche, cette Pomme. Comment Le Chien va-t-il l’apprivoiser ?